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[Noble] Eileen "Eliott" Everdinne

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[Noble] Eileen "Eliott" Everdinne Empty [Noble] Eileen "Eliott" Everdinne

Message  Eileen Everdinne Sam 19 Sep - 22:24

~°Eileen Everdinne°~


Surnom: L'indomptable. "Eliott Kunth"

Âge: Elle approche de la trentaine, peut-être 28 ans, mais elle a l'air plus jeune de quelques années.

Origine: D'origine irlandaise, elle est pourtant née en Grande-Bretagne

Nature: Mage

Rang: Noble

~°Apparence et allure°~


Ah, belle et vive Eileen. Les poètes pourraient louer la finesse de son nez, l'élégance de l'arc de ses sourcils, la roseur délicate de ses lèvres, sa silhouette de courbes délicieuses, sa poitrine conquérante, sa croupe attirante. En revanche, nulle peau de porcelaine, là où elle possédait une blancheur laiteuse, certaines couleurs sont apparues, sûrement dues à sa vie à l'étranger. Des yeux aussi gris que les nuages appellent à la rêverie, aux pensées vagabondes et une longue et épaisse chevelure d'un brun chaud qui boucle malicieusement sur ses épaules.

Lorsqu'on la voit, deux mots viennent à l'esprit. Superbe et indépendante. Elle possède ce charme propre aux femmes fortes et actives, qui mêle exquisément la douceur de la féminité et le magnétisme de la virilité. D'autant plus lorsqu'elle porte ces indécents pantalons qui galbent ses jambes et dévoilent ce que nul homme ne saurait voir. Quoi qu'il arrive, robes ou pantalons, les tenues qu'elle porte soulignent ses formes, mais elles restent sèches, trop sèches et raidies pour une femme encore jeune. Elle se plie aux règles de la coquetterie, mais selon ses manières.

~°Mental et Moralité°~


Comme l'annonce son apparence, Eileen est une femme forte, indépendante, une veuve qui ne montre aucun besoin d'un mari protecteur. Un caractère de feu, une femme passionnée, qui n'hésite pas à s'extasier comme à s'emporter et ne mâche que très rarement ses mots. Mots qu'elle manie avec une fougue et une maîtrise qui confinent à l'art.
Mais la passion a ses revers, les hauts sont suivis de bas, les hauts pics sont suivis de profondes abysses, et Eileen n'y échappe pas. Autant capable de joie que de dépression, de tolérance que de susceptibilité, c'est une femme à manier avec des gants, une rose aux épines acérées.
Si elle est versée dans la spiritualité, elle aura toutefois la prudence de ne pas laisser apparaître à quel point, se contentant de parfois citer écrits ou proverbes qui paraîtront certainement bien étrangers aux oreilles anglaises.
Passionnée de lecture, elle ne se lassera certainement pas d'évoquer un livre ou un autre avec les amateurs. Mais chose qui l'obnubile plus encore, ce sont toutes ces petites histoires que les gens peuvent avoir à raconter. Toujours attentive, elle pourra même être hypnotisée par un bon conteur.
Peut-être certains parviendront à la convaincre de conter elle-même certaines histoires qu'elle connait.

Pas tout à fait révolutionnaire, elle est hautaine et méprisante face à ceux qui font preuve d'intolérance, Nobles ou Petites gens, tout comme elle montre son intérêt à ceux qui retiennent son attention, quelle que soit leur extraction.

~°Biographie°~


Les Sullivan sont une riche famille d'ascendance irlandaise qui ont disparu du paysage londonien depuis près de dix ans. Née d'un père déjà attaqué par les affres de la vieillesse et d'une mère trop jeune et trop gracile, l'enfance d'Eileen a été de celles que peu trouveraient originale. Soleil de la vie déclinante d'un père, la petite fille a été encouragée dans ses adorables folies, et n'a pas été fort attentive aux manières que se doit d'avoir une future lady. Mais son caractère enlevé compensait bien ce défaut là.

A l'aube de ses seize ans, elle fût promise au fils ainé d'un homme de petite noblesse, ami et associé de son père. Tout d'abord furieuse d'avoir été ainsi utilisée sans que son accord ne soit demandé, elle a bien vite changé d'avis en voyant son promis. Si beau, si intelligent, si plein de projets, elle ne fût pas la statue de marbre qu'elle s'était promise d'être, mais bien une jeune femme énamourée, enivrée de romantisme et des attentions que lui portait ce jeune homme si bien fait de sa personne.

C'est chose rare de voir la mariée si sincèrement heureuse qu'elle l'a été le jour de ses noces. Plus qu'une flamme, c'était un haut brasier qu'attisaient mutuellement les jeunes époux. Et lorsque le père du jeune Everdinne mourut, loin de se laisser abattre, les tous nouveaux Lord et Lady Everdinne décidèrent de s'expatrier. Les affaires florissantes de la famille, aux Indes, auraient fort pâti d'être délaissées. Aussi choix fut fait, et le fougueux couple s'installât dans ce pays si exotique et si étrange.

L'époux s'occupait des affaires de la famille, l'épouse l'assistait dans sa tâche et découvrait un pays dont petit à petit elle tombât amoureuse.

Mais à peine deux ans après leur arrivée, une tragédie que l'on ne saurait dévoiler si publiquement vint entacher la passion, la flamme se flétrit et finit par s'éteindre. Et si la femme s'éloignait de son tant aimé mari, à cause de cette douleur si fulgurante qu'elle éprouvait à le regarder, lui, conçu la peine, le désespoir et la rancoeur. L'envie s'était enfuie, il ne menait les affaires familiales que par sens du devoir, et celui qui était si beau se dessécha petit à petit.

Mais l'on en oublie la vie de cette très chère Eileen, une vie qu'elle garde secrète, ne révèle qu'à ceux dont elle est le plus proche. En quête d'une absolution, d'une guérison qu'elle ne trouverait certainement pas auprès du dieu catholique, elle se fondit petit à petit dans la civilisation indienne.

Au fil de ses errances journalières, elle rencontrait, espérait et désespérait. Jusqu'au jour où elle croisa la route de Lokesh. Un homme étrange, un brahmane, prêtre hindou qui offrit de lui enseigner la voie de Sâmkhya.
Des années durant, elle suivit cet enseignement, d'épouse distante elle devient absente, tout son être à la découverte de ces croyances qui lui semblaient si vraies, si profondes, qu'elle les fît siennes. De professeur, Lokesh devint amant, compagnon sur cette route spirituelle qu'elle empruntait. Il lui apprit tout ce qu'il savait, lui montra comment ouvrir son esprit, et les années passant, elle découvrit qu'elle pouvait lire les pensées de ceux qui l'entourent aussi bien qu'elle lit un livre.

Mais toute ère a une fin. Le jeune Everdinne devient l'Everdinne malade, puis mourant. Et lorsque l'agonie prit fin, Lokesh vint trouver Eileen. Et avec cette constance mâtinée de tristesse, il lui dit : "Pâpathyate (ce qui signifie "étudier assidument"), tu suis le Kâma avec vigueur, et à présent, Artha et Dharma t'attendent."

Quelques mots pour lui dire de partir, elle les comprît, et même si c'est avec une immense tristesse qu'elle quittât ce pays qui l'avait si pleinement adopté, elle revint à Londres, accompagnant la dépouille de son défunt mari. Ses parents étant morts bien des années plus tôt, elle se retrouve seule et unique responsable des affaires et biens des Sullivan et des Everdinne.

Arrivée depuis tout juste quelques semaines, deux ou trois, tout au plus, Lady Everdinne défraye déjà la chronique.

Ayant profité du long voyage qui sépare les Indes et l'Angleterre, elle a écrit, écrit, jusqu'à s'en briser les doigts. Et le pied à peine posé sur les pavés londoniens, elle s'est attachée à faire publier ses écrits.
Des notes de voyage, qui parlent des Indes, de leur civilisation, de la vie que mène là-bas un peuple si différent des britanniques. C'aurait pû être une délicieuse et exotique lecture, mais les avis dont elle fait part à demi-mots, à propos de la colonisation, des massacres perpétués, qui choquent sans que l'on puisse réellement trouver à y redire valent à ce livre une réputation sulfureuse, d'autant plus que, n'oubliant aucune facette de ses descriptions, elle évoque sans la moindre honte les habitudes sexuelles en vogue dans ce pays.

Un superbe parti qui s'en revient entre les bras de la terre-mère, qui, si elle ne faisait pas preuve d'autant d'indépendance, attirerait du plus grand au plus petit dans l'espoir de la séduire et de mettre la main aussi bien sur cette femme sublime et bouillonnante que sur les richesses qu'elle détient.

L'on murmure qu'elle donnerait asile en son manoir à un écrivain, un dénommé Eliott Kunth, qui publie pamphlets et nouvelles, et serait particulièrement apprécié à l'Edgy's Pub de Trafalgar Square, bien que l'on ai jamais vraiment eu l'occasion de le croiser.
Mais Eliott Kunth s'est surtout fait une renommée fulgurante dans Londres lorsqu'il a été dit que, gratuitement, il écrirait les mémoires de tous ceux qui se présenteraient au manoir Everdinne. Noblesse ou Plèbe, pas de discriminations, tous ceux qui désirent voir leur vie couchée sur papier n'ont qu'à sonner à cette porte, et espérer que la liste n'est pas déjà trop longue.


~°Attributs°~


Atout(s):

Mage : Une mage inhabituelle, qui ne se considère pas comme telle, et si vous parveniez à lui faire avouer ce talent qui est le sien, elle évoquerait plutôt le terme de spiritualiste.

Ressources : Certes, l'immense fortune de Sullivan n'est plus que l'ombre de ce qu'elle était, et les comptoirs Everdinne ont été pour la plupart revendus, mais Lady Everdinne reste en possession de biens et d'affaires remarquables, n'ayant conservé que ce qu'elle peut gérer à elle seule, elle nourrit sa fortune du commerce exotique, et de celui, sûrement moins légal, d'écrits et d'art hindou. Si vous désirez entrer en possession du très fameux Kâmasûtra, contactez-la, elle saura vous en faire parvenir un.

Défaut(s):

Mauvaise réputation : Ah, sulfureuse et bouillante Eileen, entre ses tenues indécentes, l'exotisme de sa demeure, ces visites qu'elle reçoit à toute heure du jour ou de la nuit, et cette manie de refuser de différencier noblesse et petites gens. Bien trop indépendante et étrange au goût de la morale. D'autant plus qu'on ne la voit jamais à l'église, et qu'elle porterait un pendentif frappé d'un symbole hindou au creux de ses seins.

Marque : Que cachent donc ces gants perpétuellement portés? Loin d'être simple coquetterie, ils dissimulent ce que peu ont eu l'occasion de voir. Des mains fines et agiles, superbement tatouées. Sûrement porte-t-elle d'autres marques de ce genre sur le corps, mais on ne lui connait pour le moment aucun amant qui pourrait en témoigner.

Freak (1 point) : Oh ce n'est pas qu'elle fasse peur, pas réellement non, mais elle choque. Son regard gris semble transpercer tous ceux sur qui elle le pose, parfois les clouer sur place, d'autre les caresser, mais il est bien trop expressif pour être normal, oh oui, bien trop. Et vous avez entendu ce drôle d'accent? Dans ses R qu'elle roule du fond de la gorge, ces intonations mal placées, cette musicalité sensuelle qu'elle ne devrait pas posséder. Et pourtant, elle est originaire d'ici, oui, ne sont-ce pas les marques de l'Etrange? Ceux qui les trouvent délicieusement exotiques ne peuvent qu'être eux aussi marqués de ce sceau. Et puis parfois, elle répond à une question qui n'a pas été posée. Non, vraiment, ceux qui tiennent la morale en haute estime ne peuvent pas ne pas s'inquiéter.



Particularité: La Brume de l'Esprit est sur elle. Pour elle, elle se déchire, s'ouvre, pour lui offrir l'accès aux pensées de ses congénères. ♥️
Eileen Everdinne
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[Noble] Eileen "Eliott" Everdinne Empty Re: [Noble] Eileen "Eliott" Everdinne

Message  Sucrerie Sam 19 Sep - 22:48

Une seconde veuve pour venir choquer.

Bientôt Victoria imposera de remarier de force chaque femme esseulée. ♥️
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