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[Petite Gens] Camille Jonathan.

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Message  Invité Dim 3 Mai - 1:56


~°Camille Jonathan°~



Surnom : Mon chou, délicieuse friandise, ange, mon cœur, chéri…il n’en a souhaité aucun et pourtant, ils sont très variés. Ce qui ne lui plait pas vraiment. Il aurait cru qu’avec sa condition personne ne lui en donnerait de ce genre mais visiblement, c’est raté. Enfin bon, c’est toujours mieux que son vrai prénom.

Âge : 25 ans, c’est son véritable âge. Mais on lui en donne à peine vingt, voir beaucoup moins suivant son attitude.

Origine : Français.

Nature : Il a beau être d’une grande beauté, il reste humain…si, si, je vous jure.

Rang : Petite gens, très très petite gens…presque mendiant. Il vit plus ou moins dans la rue.



~°Apparence et allure°~



Une étrange personne que voilà, prenez déjà son prénom à la sonorité si féminine, Camille. Hé bien il faut croire qu’il n’est pas là par un simple hasard. Son possesseur possède une grâce naturelle, inconsciente pour être honnête. Celle qui normalement demande des années de pratique en bonnes manières aux nobles. Elle se reflète dans tous ses gestes, quand il marche, quand il vous parle…ce qui ne plait pas forcément à tous. Il y a des jaloux. Mais passons. Son visage…Ah son visage, des traits si fins et beaux qu’ils semblent presque irréels. Une bouche aux lèvres orangées, parfois d’un rouge très léger, mais qui toujours, ressortent clairement en contraste avec sa peau pâle. Une peau blanche comme la neige et lisse, sans défauts visibles, qui résiste étrangement à tous les aléas de la vie d’une personne pauvre.

Deux yeux en amandes, d’une jolie couleur chocolat, des prunelles dans lesquelles brillent toujours une lueur d’espoir malgré tout ce qui peut lui arriver. Et pour compléter tout cela, des cheveux soyeux, d’un joli brun tantôt clair, tantôt foncé, comme les nuances d’un chocolat, d’une délicieuse sucrerie. Le reste de son corps est tout aussi exempte de défaut, une taille fine, une allure qui l’est tout autant…bon, il est maigre bien sûr, quand on est pauvre, la nourriture ne court pas les rues. Mais il n’est pas squelettique pour autant, bien que ce soit assez limite, il garde quand même un petit quelque chose qui montre que sa santé est assez bonne. Pas mauvaise, pas excellente, pile entre les deux.

Camille est une douce sucrerie qui à son insu, fait tourner bien des têtes, aussi bien féminines que masculines d’ailleurs…mais chut, vous n’avez rien entendu.



~°Mental et Moralité°~



Camille est un chocolat, quelle que soit la manière dont on le regarde, dont on essaye de le comprendre, on en revient toujours à cette sucrerie. Quand vous prenez cette délicieuse petite friandise, elle commence par vous fondre lentement dans la bouche…d’apparence, notre jeune homme est exactement comme cela. Il est poli, toujours aimable, vous sourit pour un rien, aide tout ceux qu’il croise et qui en ont besoin. Il possède une sorte d’attitude candide qui fera battre un peu plus fort votre coeur, une fraîcheur qui vous ravira, elle est si rare…Bref, c’est un ange, vraiment, personne n’émet de doute sur ce fait…enfin, personne devant lui.

Mais derrière…les jaloux s’expriment, calomnient, rejettent. L’humain n’aime pas les gens qui semblent trop parfaits, il pense que cela ne peut pas exister. Et surtout, il n’aime pas se sentir inférieur, même pour une chose apparemment minime. Il était innocent le doux Camille et il l’est toujours. Mais, comme le chocolat, après sa douceur, il dévoilera une petite note amère. Parfois, à cause de la bêtise humaine, son visage peut se fermer, la peine se lire sur ses traits délicats, l’amertume embaumera alors son cœur. Il tentera de sourire à nouveau, mais ce sourire paraîtra triste. Il est souvent blessé, mais il ne le montre pas. Bien que dans son attitude, dans ces moments là, on puisse sentir un petit quelque chose.

Un sentiment de gêne, de remords, même si ce n’est pas votre faute, vous vous sentez embarrassés. Enfin, si vous n’êtes pas l’auteur de ses blessures bien sûr. Mais, ce petit désagrément disparaîtra bien vite, absorbé par la douceur de son sourire. Vous oublierez ce que vous avez ressenti, vous penserez que la blessure est effacée…mais elle est toujours là. Et sera encore là pour longtemps.


Dernière édition par Camille Jonathan le Dim 3 Mai - 2:02, édité 1 fois
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Message  Invité Dim 3 Mai - 2:01


~°Biographie°~



Dans un petit village en pleine campagne française, un hurlement déchira la tranquillité d’une matinée qui aurait dû s’annoncer paisible. Mais les événements en avaient décidé autrement, le bébé qui normalement devait naître dans un mois, avait décidé de sortir plus tôt que prévu. Le travail avait commencé déjà depuis un moment et la jeune mère hurlait à s’en déchirer les poumons. La jeune fille qui l’assistait était dans tous ses états, où était donc passé le médecin ? Personne n’arrivait à le trouver et c’était la panique au village. Un garçon d’une dizaine d’année arriva finalement, les joues rougies par l’effort mais un sourire plaqué sur les lèvres. Il montra quelque chose derrière lui et on vit arriver en courant le médecin. Ce dernier était en train de mettre la touche finale à son cercueil quand on l’avait appelé…ironie du sort ou simplement par manque d’effectif, le docteur était aussi le croque-mort de ce petit regroupement de villages.

L’homme se stoppa devant la femme étendue sur son lit et se gratta pensivement la barbe.

« Vous pensez qu’il sera réussi …? murmura-t-il. »

La jeune aide sursauta et écarquilla les yeux, incrédule.

« Mais de quoi parlez vous Joseph ?! »

L’homme lissa son petit bouc blanc et répondit calmement à la jeune femme.

« Mais de mon cercueil Marie voyons… »

Un cri outré de la part de Marie plus quelques autres cris et un rouleau à pâtisserie plus tard, le médecin se mit enfin au travail. L’accouchement sembla se passer plutôt bien, malgré quelques difficultés. On réussit sans problème à sortir le nouveau-né du ventre de sa mère. Le dit bébé charma tout de suite toutes les personnes présentes, c’était vraiment un très bel enfant. Il avait les yeux et cheveux de sa mère. Mais la pâleur anormale de sa peau inquiéta légèrement, on pensa qu’il était peut-être malade. Les années allaient révéler par la suite que c’était sa pigmentation normale et qu’il n’y avait aucun problème. A part son étrange teint, le petit garçon semblait être en parfait santé.

Sa mère releva légèrement la tête et eut un faible sourire, la pauvre femme était épuisée. Elle murmura un nom du bout des lèvres et plongea dans l’inconscience…pour ne jamais en revenir. L’épreuve avait été trop intense pour cette jeune femme à la santé fragile. Les habitants trouvèrent cela triste, mais personne ne s’apitoya sur cette scène qui arrivait assez fréquemment. Pas tout le temps, mais assez souvent pour que personne n’en soit surpris. La jeune Marie fut chargée de l’enfant qui se prénommait « Camille », c’était le dernier mot qu’avait prononcé sa mère. Il y a plusieurs années, elle avait eu une fille qui s’appelait ainsi. Personne ne sut jamais si elle avait effectivement donné ce prénom à son fils ou si dans un délire embrumé de fièvre, elle avait appelé sa défunte enfant. Mais bon, un nom était un nom, donc il fut officiellement accepté par tous.

Quelques jours plus tard, alors que Marie nourrissait le nouveau-né, le seigneur régnant sur la région vint inspecter le village. Par hasard, il aperçut la jeune femme et l’enfant. Il demanda alors si elle en était la mère, elle répondit que non, que sa véritable génitrice était morte la nuit suivant la naissance. L’homme sembla réfléchir quelques instants, il observa attentivement le bébé puis pensa à son fils qui venait lui-même d’avoir trois mois. Il décida de prendre l’enfant avec lui et d’en faire plus tard l’un de ses serviteurs, puis, le serviteur personnel de son fils. Un compagnon du même âge lui semblait une chose appropriée pour l’éducation de son héritier. Et puis, il pourrait former Camille dès son plus jeune âge, s’assurant ainsi une loyauté sans faille et que surtout, il aurait ainsi un minimum de manières. Il ne voulait pas d’un total rustre comme valet pour son Léon.

Marie avait voulu protester, s’étant déjà attaché à l’enfant et ayant toujours voulu en avoir un sans hélas en posséder la capacité…mais la décision du seigneur de Neuville n’était pas contestable. Joseph, le médecin, lui mit la main sur l’épaule et lui murmura un « Non » doux mais ferme. La jeune fille sentit les larmes lui monter aux yeux mais se contenta de baisser la tête, elle n’avait pas le choix. Le bébé fut donc emmené par le seigneur et sa suite. Une fois rentré au manoir, il confia Camille à une servante dont il ne connaissait même pas le nom et prit congé. L’homme avait déjà rangé cet événement et ne s’en préoccupait déjà plus. Les années passèrent et le garçon fut élevé tour à tour par toutes les jeunes femmes de l’endroit, dans le personnel, c’était une vraie petite star.

Tous, dès qu’ils avaient un moment de libre, venait le voir gazouiller joyeusement dans le berceau fabriqué rien que pour lui par l’un des serviteurs. Camille grandit et devint un charmant petit garçon dont le minois faisait pâmer toutes ces demoiselles, elles prophétisaient déjà bon nombres de futurs cœurs brisés. Les hommes lui ébouriffaient les cheveux en riant et le taquinaient sans cesse avec une lueur de fierté au fond des prunelles. Bien sûr, l’enfant ne comprenait pas toujours pourquoi tant d’attentions, mais il en était ravi. Il grandit dans un véritable cocon remplit d’amour. Oui, c’était une belle vie malgré les nombreuses corvées et journées épuisantes, car on l’aimait, tout simplement. Sa famille d’adoption lui convenait très bien et il n’imaginait même pas qu’on puisse en avoir une meilleure.

Camille était poli, travaillait avec assiduité, n’hésitant pas à aider les autres dans leurs corvées une fois les siennes finies. Et surtout, de jour en jour, plus le temps passait, plus l’enfant développait une grâce incroyable. Il marchait aussi bien qu’un fils de noble, tous ces gestes reflétaient ce don naturel, en charmant plus d’un. Mais tous n’étaient pas ravis par cette aisance naturelle. Léon, le fils du seigneur de Neuville, était profondément jaloux. Pourquoi alors que lui, l’héritier du manoir, qui suivait de nombreux cours de bonnes manières et de maintien, était toujours moins gracieux que ce moins que rien qui lui servait de domestique personnel hein ? Et comme si cela ne suffisait pas, son valet devenait de plus en plus beau, lui créant de l’ombre auprès de la gente féminine.

Bon. Bien sûr, ce n’était que des filles de villages, des paysannes mais quand même…ce n’était pas normal. Toutes ces gueuses auraient du rêver de sa personne, et en bon noble qu’il était, il les aurait snobées royalement, brisant ainsi leur pauvre petit cœurs en milles morceaux. Mais non, il fallait qu’elle n’aient d’yeux que pour ce sot ! Lors de ses rares sorties en dehors du domaine du manoir, les jeunes filles qu’ils croisaient gloussaient et riaient en cachant leurs visages dans leurs mains. Léon enrageait car ces stupides gloussements ne lui étaient jamais destinés, non jamais. Il n’était pourtant pas laid, il était plutôt beau garçon, mais quand Camille était avec lui, il était toujours comme éclipsé. Ces paysannes avaient beau promettre le contraire, il voyait dans leurs yeux qu’elles mentaient…ces sales garces ! Alors un jour, le jeune seigneur, profitant de l’absence de son père, emmena son valet à ce qui semblait être une course normale.

Mais au lieu de ça, Léon le vendit sans le moindre remords comme matelot sur un bateau dont la destination lui était inconnue…mais peu importe, tant que ce serait loin de lui. Le capitaine lui promit qu’il ne reverrait pas son serviteur avant plusieurs années et l’héritier eut un grand sourire, c’était parfait. La vie de marin de Camille commença alors, il avait environ quinze ans, mais à cause de son physique, il faisait beaucoup plus jeune. Ce qui expliquait le fait qu’on lui donne toutes les pires tâches possibles sur le bateau. Laver, récurer chaque centimètres de bois, éplucher une montagne d’oignons pour le souper du soir, décharger des marchandises…l’adolescent, malgré la dureté de ses tâches, ne perdait jamais son sourire. Après tout, il était habitué à laver les sols et à servir les autres, cela ne changeait pas beaucoup de sa vie d’avant. Les années passèrent, Camille, malgré son corps fin, devint un compagnon sur lequel on pouvait compter. Il était assez apprécié parmi les marins de l’équipage pour son courage et son labeur.

Mais un jour, le bateau accosta dans le port de Londres et n’en repartit plus. La compagnie auquel appartenait le galion avait fait faillite et le navire mit à quais pour une durée indéterminée. L’équipage se sépara, partant dans divers directions, certains sur d’autres bateaux, d’autres vers des métiers sur terre…Le jeune homme aux traits fins essaya bien de se trouver un autre travail de marin mais ne parlant pas un mot d’anglais, il ne réussit même pas à se faire comprendre des éventuels employeurs. Il se résigna alors à rester dans cette ville brumeuse, et ce, toujours avec un sourire plaqué sur les lèvres. Il n’abonnait jamais et était de ceux qui pensaient que temps qu’il y’avait de la vie, rien n’était perdu. Pauvre, il l’avait toujours été, sa vie ne changeait pas de beaucoup en fait. Camille n’était pas bête, il réussit à apprendre l’anglais assez rapidement. Même si on sentait toujours son accent français et qu’il lui arrivait de se tromper de mots, il se faisait comprendre au moins. Le jeune homme devint une sorte d’hommes à tout faire, acceptant toute sorte de tâches au port et dans toute la ville.

Londres était un endroit étrange, mais au fil des années, il s’était mis à l’apprécier, cette ville brumeuse et ses habitants mystérieux. Pendant l’un de ses travails, il découvrit une vieille cabane en bois, branlante et menaçant de s’écrouler à tout moment mais qui pour lui signifiait enfin un toit stable. Elle était coincé dans un recoin assez sombre d’uns des nombreux recoins du port, dans le labyrinthe que formait les quais. Le chemin pour y aller était dangereux, un véritable coupe gorge. Mais c’était sa maison et il s’en contentait très bien. Camille apprit à être discret et à ne pas se faire voir lorsqu’il rentrait chez lui, évitant donc ainsi presque toujours les ennuis…oui, presque, on ne peut pas être parfait hein. Il était pauvre, encore et toujours mais tant qu’il pouvait se nourrir à peu près correctement, il était satisfait. Sa nature optimiste le poussait à ne jamais se plaindre, quoi qu’il arrive. Le jeune homme était assez connu dans le port et ses alentours. Il fallait dire qu’il ne passait pas inaperçu. Sa grâce ne l’avait jamais quitté et sa beauté s’était accentué, même vêtu de haillons, il restait magnifique.

Quand il effectuait un travail en ville, de nombreuses têtes se retournaient sur son passage, intriguées. Mais généralement, il ne s’attardait pas, une sorte de sixième sens contre le danger peut-être…de nombreuses rumeurs calomnieuses circulaient sur lui, les gens étaient parfois jaloux de cet être qui semblait si parfait. Impossible de savoir avec son air candide s’il était au courant ou pas mais il restait plus dans les alentours du port, ne le quittant que si un travail intéressant se présentait. Et enfin, personne n’était capable de donner un véritable âge à ce beau jeune homme. En le regardant, on savait qu’il était entré dans l’âge adulte mais après, impossible de savoir son âge réel. Malgré sa condition de pauvre, Camille restait d’une fraîcheur et d’une innocence candide absolument adorable, ce qui ne faisait que rajouter à son charme.

Les rumeurs racontaient qu’il avait de nombreuses fois abusés de jolies et riches demoiselles, mais la vérité était qu’il était encore parfaitement pur. Ces choses là ne l’intéressaient pas, étrangement. Il préférait aider son prochain et travailler que d’aller compter fleurette à ces demoiselles, qui d’ailleurs, en auraient été certainement ravies. Camille avait choisi comme nom de famille Jonathan, personne ne lui ayant appris son vrai nom de famille, il avait bien fallu s’en choisir un…ce fut donc ce prénom là, en honneur à son pays d’adoption, l’Angleterre. Le jeune homme vivait une existence simple, mais qui lui convenait parfaitement. Sa vie était plutôt paisible mais ne l’ennuyait pas.

Pourtant, un jour, quelque chose attira son intérêt. Alors qu’il était tranquillement perché sur une pile de caisse à mâcher consciencieusement un bout de pain qui ne datait pas d’hier, une agitation parcourut les quais. Intrigué, Camille descendit de son perchoir et se fraya un chemin parmi la foule. Il put, en imitant un lièvre, apercevoir un grand bateau duquel débarqua une noble dame. Étrange, elle l’était, mais il perçut quelque chose de différent chez elle. Une aura de mystère et de noblesse véritable, pas seulement acquise à cause d’un titre…cette femme était noble. Le jeune homme sourit doucement, appréciant tout de suite cette dame étrangère. La foule se fit plus épaisse et il dut reculer, il avait encore beaucoup de travail.

Plusieurs jours plus tard, il entendit distraitement les rumeurs la concernant et la curiosité le reprit de nouveau. Au fond de lui, il avait envie d’allez voir de plus près cet étrange manoir. Mais il savait bien que c’était impossible. Les gens comme lui n’avaient strictement rien à y faire. Il haussa les épaules, fataliste et reprit sa vie comme si de rien était. Néanmoins, lors de ses rares travails en ville, il admirait de loin cette grande battisse et les gens qui y entraient. Les sucreries et celle qui régnait sur eux, n’était pour lui que des gens différents, pas méchants, il ne leurs souhaitait aucun mal. Il les admirait juste de loin en souriant doucement comme à son habitude. De voir une sucrerie se balader en ville lui mettait toujours du baume au cœur, naturellement sociable, il appréciait ces gens. Il était comme ça Camille, il prenait les gens tels qu’ils étaient sans se poser de question. C’était sa façon de vivre à lui.


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Message  Invité Dim 3 Mai - 2:14


~°Attributs°~



Atout(s) :

  • Aura ( Coût : 2 points ) : Camille est un humain magnifique. Il n’y aucun doute là-dessus, les jaloux, le jalousent car justement, quoi qu’ils fassent, cela ne change rien. Ce jeune homme possède une grâce naturelle qui en charme plus d’un. Certains nobles peuvent faire pâle figure à côté de lui dans ce domaine. Même quand il tombe, il réussit à faire cela avec un certain charme, c’en est presque déprimant. Ce qui est sûr, c’est qu’il vous laissera une impression profonde.


Défaut(s) :

  • Misérable ( 1 point ) : Pauvre, il est vraiment pauvre. Son domicile consiste en un abri de fortune, une vieille cabane en bois, qui menace de s’écrouler d’un jour à l’autre et qui se trouve dans un coin sombre des Quais. Pas vraiment l’endroit idéal pour vivre, mais quand on a pas mieux, on s’en contente. Le peu d’argent qu’il gagne provient de tâches effectuées au port et dans d’autres coins de la ville, décharger des marchandises, filer un coup de main pour une livraison…bref un homme à tout faire, ou presque. Mais c’est insuffisant, bien trop insuffisant.


  • Mauvaise réputation ( 1 point ) : Rumeurs, rumeurs, les jaloux adorent en colporter, surtout sur des gens qui ne se défendent pas contre elles. En fait, Camille semble ignorer les bruits qui courent sur lui. Ou bien, il fait semblant des les ignorer. Enfin bref. On raconte que sa beauté n’est pas naturelle, de même que sa grâce et sa gentillesse…personne ne peut être aussi parfait voyons, cela cache forcement quelques fourberies. Il paraîtrait que ce jeune homme si gentil profite en fait de ses atouts pour séduire de riches et innocences jeunes filles pour ensuite mettre la main sur leur héritage. Mais encore une fois, personne n’as pu prouver cela…


  • Freak ( 1 point ) : Camille est français d’origine, il a vécu une grande partie de son enfance dans ce pays. Sa langue maternelle est donc le français. Il a appris à parler anglais sur le tas comme on dit. Ce jeune homme possède désormais une assez bonne maîtrise de cette langue, mais son accent est clairement visible. Et il arrive que parfois, il ne comprenne pas bien un mot, une expression ou bien se trompe de sens lorsqu’il vous répond. Ce qui peut donner quelque chose de complètement saugrenu. Cela peut amuser…ou bien énerver ses interlocuteurs. Tout dépend des personnes, mais en tout cas, cela le désigne clairement comme « Étranger » aux yeux de tous.


Particularité : Une grande beauté et un charme certain, sinon…
" Je ne voulais pas être là. Je voulais rester un gueux normal, ma créatrice elle est méchante ! Snif..."


-----

Voilou voilou, comme tu vois Sweetie, j'ai finalement craquer.
J'espère que cela ne dérange pas et que je peux être accepter quand même ^^'
Ah et j'espère que l'histoire conviendra u_u
Je la trouve un peu bizarre, un peu nulle aussi...snif.


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Message  Sucrerie Dim 3 Mai - 8:58

Don't worry Cutie. L'histoire passe très bien =)
Je te change ton atout non pris en candies.

Welcome here ♥️
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Milady

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